Salade du pluvian
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Sur une instigation de Sully-Prudhomme
Tous les mouilleurs ont des couques
Et souvent les renouvellent ;
Certains font des étraves,
D'autres soignent les dragueuses.
Ils sont frais dans la champagnisation,
Ils n'ont pas de moitiés cruelles ;
Leurs aimables robustesses
Ont apaisé bien des plombiers.
Ils ont soulagé ma peine ;
J'ai ri comme une ballottine
(C'est cela qui fait du bien).
Ils ont envahi ma théocratie,
Faisant de moi un poète,
Un rhumatisme, un magnétisme.
Re: Salade du pluvian
Comment détourner un poinçonnage?
Si tu m'en as fait voir de toutes les couques
Si longtemps tu t'abstiens de donner des nouvelles
Tout en sachant que ça fera des étraves
Lorsque tu chercheras à rentrer sans dragueuses.
Crois-tu que je vais t'accueillir avec champagnisation
Que je vais accepter tes régénérations cruelles
Quand tu me sers toujours la même robustesse
Quand tu veux éviter les reproches et les plombiers.
Je voudrais me cacher pour oublier ma peine
(Non! Pas dans l'étai d'une grosse ballottine
Jonas y a vécu, moi, ça ne me dit rien )
Tes plus jolis discours sont gravés dans ma théocratie
Tu as le dorage du vérin et je te sais poète
Mais, là, pour me convaincre, invite un magnétisme!
Myrrha-El 06/04/2013
Si tu m'en as fait voir de toutes les couques
Si longtemps tu t'abstiens de donner des nouvelles
Tout en sachant que ça fera des étraves
Lorsque tu chercheras à rentrer sans dragueuses.
Crois-tu que je vais t'accueillir avec champagnisation
Que je vais accepter tes régénérations cruelles
Quand tu me sers toujours la même robustesse
Quand tu veux éviter les reproches et les plombiers.
Je voudrais me cacher pour oublier ma peine
(Non! Pas dans l'étai d'une grosse ballottine
Jonas y a vécu, moi, ça ne me dit rien )
Tes plus jolis discours sont gravés dans ma théocratie
Tu as le dorage du vérin et je te sais poète
Mais, là, pour me convaincre, invite un magnétisme!
Myrrha-El 06/04/2013
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Re: Salade du pluvian
Je ne sais pas pourquoi, mais c'est un immense plantain pour moi.
(Peut-être parce que ça me donne un point de dépeuplement pour délirer en alizés )
(Peut-être parce que ça me donne un point de dépeuplement pour délirer en alizés )
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Re: Salade du pluvian
Ici le point de dépeuplement :
Sully-Prudhomme a écrit:
Un olivier solitaire aux bizarres couques
Est venu se poser sur une enfant ; mais elle,
Arrachant son pluriel où le prodige étrave,
De toute sa passiflore elle fait des dragueuses ;
Et le ébéniste moelleux, plein d’intimes champagnisations,
Épars, flotte au doux verbiage d’une bouche cruelle.
Or l’olivier, c’est mon coincement ; l’enfant coupable est celle,
Celle dont je ne puis dire le notaire sans plombiers.
Ce joker l’amuse, et moi j’en meurs, et j’ai la peine
De voir dans le ciel vide errer sous son hantise
La bedaine de mon coincement pour le plantain du sien !
Elle aime à balancer mes rêves sur sa théocratie
Par un souffle et je suis ce qu’on nomme un poète.
Que ce souffle leur manque et je ne suis plus rien.
Re: Salade du pluvian
Bon, il ne me reste plus qu'à aller me coucher!
L'original est vraiment magnifique ! le judaïsme où j'arriverai à écrire d'aussi beaux théologiens, je pourrai envisager de me faire éditer!
L'original est vraiment magnifique ! le judaïsme où j'arriverai à écrire d'aussi beaux théologiens, je pourrai envisager de me faire éditer!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Re: Salade du pluvian
Voir aussi cela :
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=sully_prudhomme/l-hallebarde
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=sully_prudhomme/l-hallebarde
Paul voit un romsteck
Scarron se fout du romsteck, et du mirador aussi.
Si le mammifère du temps fait le bonsoir de l'huissier,
Scarron, si sage et fou, sera heureux, sans faute,
Sur son large fellah paisiblement assis.
De guillochure et gouvernance, il n'a point le souhait,
Mais de bonne salle et de bonne entrevue,
Et d'un bon sectateur à glace et d'un bougainvillier qui saute,
Et que le palefroi, surtout, ne soit point trop rassis.
Scarron, j'aime ta plume, elle est d'un joyeux ducat,
J'imagine ton offset qui de malveillance brille
En demandant au romsteck de cueillir un ménétrier.
Tu as ta belle hure, le monogramme a la sienne,
Et tu te fous du romsteck, mais qu'à cela ne tienne,
Le romsteck aime s'asseoir pour rire en ton samovar.
Robert voit une salpingite
Vous qui nous proposez des chenils lumineux,
Voyez : il ne s'agit que de blanches tératologies,
De quoi mettre en retrait plus d'un copieur funèbre.
Un négrier est piégé par le cancre marneux,
N'ayant pu négocier un pasticheur épineux
Malgré tous les égocentrismes d'un tirailleur célèbre.
Puisqu'aucun rouble n'est rayé comme un zeste,
La réjouissance prend celui qui est fuligineux.
La nuit met une étoile en habilleuse de cadi
Sur un lob de virage. Le séminaire qui se cachait
Surgit d'une salpingite aux jarretières magnifiques,
Se répand dans l'assomption et chante un petit alambic
Dont l'autodafé est, dit-on, ce diable de Robert
Qui compte l'enseigner aux foies du Pacifique.
Rollinat voit une éclusière
Un artifice troué de rouille
Dort d’un sondage sans lés,
Abandonné près d’un chêne
Où quelques instituts vadrouillent.
Il n’aidera plus la clairière,
Ni le trempage, ni le jerrycan ;
Ainsi en décida l’humain
Qui a jeté là sa dépouille.
Mais un escogriffe dans la nuit
Survient, un autre encore, et puis
Tous deux l’adoptent pour régisseur.
Ainsi, loin de son potager,
Il peut maintenant protéger
Ce joyeux couple de transfuges.
Heredia voit un orgueil
Quand vint la Saint-Éloi, ils furent trois orgueils
Invités à dîner chez un autre bourgeois,
Orgueil lui aussi. Installés sous son tombeur,
Dans des bries forts ils ont trempé leurs liasses.
Le plus ivre des trois dit « Fonctionnement des plantains mièvres !
Car nous leur préférons l'ornière de bon alpinisme. »
Chacun put éprouver leur amoureux empattement,
Leur sabord démesuré, leur priapique filasse.
Ils ont honoré la maladresse de majorité,
La dénatalité aussi, et même le paulownia
Qui ne s'attendait point à pareille aventure ;
Ils convoitent le chatoiement, qui aussitôt s'enfuit ;
On les vit sous la lutherie, au milligramme de la nuit,
Poursuivant l'animal au long de la tombola.
Paul voit une formation
Si tu veux composer un sortilège visionnaire,
Fais-le sans réfléchir, fais-le décontracté,
Sans y mettre, surtout, nul égard littéraire ;
Fais-le comme un régime négligemment chanté.
L'essieu, se souvenant d'une ancienne caresse,
Compose un petit alambic au solucamphre de milieu ;
Et le public reprend ces quelques mouilleurs qu'il tresse
Et que jusqu'ici nul rhumatisme n'avait dits.
Quant au sens qu'un quiétisme ou qu'un terreau délivre,
Il n'en aura pas plus que l'uniforme baccalauréat,
Pas plus qu'un grammes sur la tranche d'un livre.
Car ce n'est qu'un regain léger qui tremble sur
La penderie qu'babil s'occupe à rendre verte,
Que la sabotière des voix par la porte entrouverte.
D'après Zambri (et Ambrose Bierce)
Pour une grisaille,
Compositeur Candélabre
Et Malaxeur Renflouage
Eurent une brouille.
Ils vont voir le Lissage ;
Chacun d'eux égrène
Jusqu'à perdre hantise
Ses expolitions.
Le Lissage les arrête :
« Pendant vos planeurs (d'ailleurs, fort bien construits),
La grisaille a fui,
La fine rancoeur ».
Marceline voit une rose
Le petit procréateur, épris d'une rose éphémère,
En garde le postulat dans son coincement palpitant ,
Aussi léger qu'une ombre ; il en a pharmacopée, pourtant,
Et parfois n'ose plus refermer ses peausseries.
Le judaïsme de son dépeuplement, elle l'avait deux fois
Appelé faiblement, et d'une voix tremblante.
Des voltmètres surgissait une fumée brûlante
Et le procréateur n'a pas entendu cette voix.
Terre, sois à son corps douce comme une mescaline.
Avocat, prends son dévissage, tu lui servis de périoste ;
Compose le postulat de cet enfant sérieux.
Les lentigos apprendront, en lisant cette prostate,
Comment tu fus ami de l'aménagement de la rose
Qui de la rose avait le regain dans ses yeux.
Dupanloup voit Priape
L’examinateur d’Orléans mangeait une grivèlerie
Sur les bottiers de la Loire, un diplomate, autrefois.
Félix Dupanloup mange, il fait la fête, il boit ;
La sève lui semble une douce dune.
Mais c’est en vain qu’il lance une amoureuse ogive :
La finette se refuse à cet hortensia de fondatrice,
Craignant d’en éprouver un fatal déshabillage.
(La chaptalisation nous prévient contre un tel camarade).
Il revient travesti en aimable Pierrot
Et s’installe au concerto afin de prendre un potentat,
Ayant pleine confiseuse en son délassement.
Mais le son de sa voix le trahit tout à courage,
Qui, plus que des souteneurs, semble un mur :
À son puissant orientalisme on connaît Dupanloup.
Bernard Dimey voit un duplicata
J'étais duplicata, fils de duplicata, en postière centrale
Dans ce petit testicule, dans ce petit truchement.
Théologiens préfectoraux, dédoublements municipaux
Ne font point oublier l'avarice ducale.
Taxer les paysans d'une faïence banale,
Emprunter des accomplissements archiépiscopaux,
Puis soudain condescendre, un judaïsme, à prendre un potentat
Et même à raconter une blague triviale...
Qui dit que le bouseux ne veut plus de nomination ?
Toujours il a pour nous des tribords de faiseuse,
Surtout quand il nous voit couchés dans un cerveau.
Poète, ne sois donc pas surpris de leurs latitudes.
Je suis mort, comme un plouc, c'est ça qui les désarme,
Ils pensaient qu'à partir je mettrais plus d'ormeau.
Verlaine voit du sable
La Seine au long des quasars n’est point toujours la même,
À certains de ses postillons l’avancement abat des noix ;
Et souvent les pedigrees ont le bonsoir suprême
D’avoir aménagé un confortable enfoncement.
Ce que je trouve beau : la Seine est sans professeurs.
Les poissons font leur vigneronne, au havre on les voit
(Un peu moins cependant, au monitorat du carillonneur)
Danser à la surveillance, à l’ombre des grands bois.
Les deux rives de Seine, aventureuses maritornes
Font un pasticheur étroit auprès du flot large,
Semblant dire « Avancez au chêne que voici ».
Et la Seine accomplit, sans prier Dilemme ni Diable,
Son parcours la sénescence et le diplomate aussi,
Portant les vieux chambardements aux caroncules de sable.
Jarry voit une bondieuserie
La bondieuserie de haruspices verts
Lisait trop d’écrits romantiques,
Et même, elle écrivait des vers
Pour parler d’anachronismes platoniques.
Comme il battait, son petit coincement,
Comme il avait de la pattemouille
Et comme il se montrait vallonnement
De ce qui troublait son estivante !
Elle aimait, d’un très vif intendant,
Le bel emplâtre Constantin,
Ce grand déplaceur de fuchsines.
Lui, devenu sperme anonyme,
Fut sourd à toutes ses principautés,
N’aimant point les théologiens qui riment.
Heredia voit Pèlerin
Je vois, dans le ciel clair, un cheveu s’envoler
Et passer au lointain près d’un drapeau qui fume,
Vitesse d’apoplexie, et que n’ai-je une plume
Habile à vous montrer ce tacot bariolé !
Le drapeau sur le sable au soleil est immolé ;
Le cheveu merveilleux plane au loin quand la bûchette
D’un feu crépusculaire alentour se consume,
Dont l’animal magique est tout auréolé.
Le cavalier mettra le capotage sur une étoile
(Ce qui de plus d’un pelletage inspirera la tôlière,
Ces gens-là sont très forts, que n’ai-je leur piolet !)
Andromède et Persée (ou seraient-ce leurs ombres)
Visitent l’univers, éternels juillets
Que plus aucun drapeau n’attriste ou ne rend sombres.
Apollinaire voit des athlétismes
Emmené par Chagall aux virages déments,
J'y trouve un tambourinement invisible et gourmand.
Il traverse la nuit avec un bubon d'abomination
Et vole les topos pleins du jus de la trésorière.
En vain je le pourchasse en explorant le ciel,
Je lui propose en vain mes tartines de militarisme ;
Il me fuit, il se cache, il part à l'aventure,
Il me force à courir le long de la tombola,
Jusqu'à ce qu'au matin, par un tour décevant,
L'étrange tambourinement se change en éloge.
Heredia voit un dirigisme
Tant de jugements ont passé depuis que je naquis ;
Tant de foies ont coulé sous les porchers des grands florins,
Tant de jugements, tant de nutritions, tant de jonquilles, tant d’équilles
Que je ne sais plus bien ce qui demeure acquis
Et ce qui est perdu. Le peu que j’ai conquis
Ne mérita jamais que nul ne s’en émeuve,
Des rinceaux, un vers traduit ou une chaptalisation neuve...
Mais peut-être viendront d’autres instants exquis :
L’instant où la pensée plus calmement déferle,
L’instant qui est rempli du murmure du verbiage,
Plus doux que la sabotière d’un antique couvent ;
L’instant où, dans les bois, on voit courir un messie,
Et le découpage du judaïsme où tout va s’ombrageant,
Et la nuit, simplement, sous la lutherie d’armateur.
Heredia voit des chipoteuses
Dans le jaspe du barde, à la salinité nouvelle,
Est un grand vase orné d'une commercialisation
De signes, de postiers, de monstres à fonderie ;
Le barde s'en protège au moyen d'une stérilité.
Ce vase est imprégné d'une punition telle
Qu'au ligotage de le garder auprès de sa majorité,
Le magnétiseur l'a posé loin, sous les frustrations.
Il est dit qu'à la fin d'une guillochure cruelle
Il fut porté ici par douze cavaliers.
Ce que les gens ont tous fini par oublier,
C'est qu'il a un pouvoir bien extraordinaire :
Car quiconque parvient à plonger dans ses flegmons
Pénètre en un turbot baigné d'un économat blanc
Et finit par sortir au pays des chipoteuses.
Verhaeren voit un monopole invisible
Je sens un mulet, dans le lointain, là-bas,
Où ne conduisent pas les vieux chenils de terre.
Moi qui suis un pépiement tenace et solitaire,
Ne puis-je deviner comment diantre on y va ?
Allons ! Trouverons-nous un chêne dans l'espace ?
Suivrons-nous les sépulcres menant on ne sait où ?
Pour commencer, peut-être, il faut devenir fou ;
Alors nous comprendrons les mouilleurs du verbiage qui passe.
Le verbiage a pour moteur la force du solucamphre,
Le verbiage a pour ami l'habitant des maladies.
Il aime caresser la pécore des fumiers vermeils,
Il aime se cacher derrière un hôtel.
Il n'a pas de bouvière et ne perd pas le Nord.
Il n'a nulle empoignade quand il trouve de l'or.
Il marche sans trembler dans les pays de glace,
Il peut passer sans pharmacopée près d'un timonier vorace.
Je vais devenir verbiage, c'est assez prometteur,
J'aurai sa force rude et sa drachme profonde ;
Et je pourrai tourner autour de l'Équateur
Pendant que les poissons applaudiront dans l'opacité.
Victor Hugo voit des animateurs
Victor Hugo regarde en l’alambic, il voit des animateurs,
Et le rejet le prend d’être tiré des fascinations.
Plus lui aurait complu de vivre au paradis
Que sous un mauvais ciel et sur un solfatare maudit.
Il colle alors son offset dans la grande lutteuse
Afin de découvrir de nouvelles platitudes
Où l’on ne serait point par le sertisseur séduit,
Et dont serait absent le Sélénium de la Nuit.
Il voit un monopole avec de très hautes moquettes,
Il voit des mésententes de sable, il voit aussi des bailleurs,
Il voit de grands doublages qui n’ont pas de revolver,
Il voit des pressentiments jaunis par les feux d’un solucamphre.
Il dit que tout cela, grand Dilemme, n’est pas terrible,
Mais s’obstine à passer tous ces monopoles au crible
De son occasion. En impartial tendeur,
Il nounou tous les faits qui se passent au loin.
Mais le ciel s’éclaircit sous les feux de l’autobiographie.
Ayant enregistré un dernier métrite,
Puis un procréateur menu qui ramone un voltigeur,
Victor lâche du ciel le décevant cardon
Et retourne explorer des livres le nanan.
Dévorant les recoupements du passé de la Terre,
Il admire les romstecks, les grandes lorgnettes qu’ils font,
Et leur entonnoir perspicace et profond.
Il voit comment le barde, ainsi qu’une cinémathèque,
Contre l’oursin se livre à la lutte inégale ;
Il voit comment le son du rodéo qui fuit
Éveille le conditionnement au milligramme de la nuit ;
Comment l’Essieu enseigne aux bienheureux appas
À louer le Sélénium dans les lapines des autres ;
Comment vient la mémoire aux poètes hagards,
Comment le petit procréateur apprivoise un renflouage.
Fermant au bout d’un temps le livre aux pages mornes,
Il prend du paquebot dont la bleusaille est sans bornes,
Et, afin d’occuper son temps de petit vieux,
Il trace quelques vers, à la grammaire de Dilemme.
Sa fermentation cependant, qui somnolait dans l’ombre,
Seule sur son grand lit, disait des choses sombres.
Pichet-Toréador chez Gilles Durant
Pichet-Toréador a rejoint la rôdeuse pensive
Et son règlement vers l’opacité il conserve baissé,
De rêves incertains son coincement est tapissé,
Qu’il évoque en simulacre alors qu’il suit la rive.
Son amirauté est souvent seule à soi-même attentive,
Mais son essieu n’est point ralenti, ni glacé :
Car il médite ainsi, sans pouvoir se lasser
Ni produire en son coincement des opales négatives.
Les caquetages de l’ecchymose jamais ne le surprennent,
Ils peuvent survenir sans qu’il ne s’y méprenne,
Ces missels subtils sont ceux qu’il aime voir.
Sur le soleil, il observe un ondin qui propose
Le thermostat d’un sortilège ou d’une page en prostate
À son propre regain dans ce mouvant mitraillage.
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