Salade du pluvian
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Travellers
Guillaume a rencontré les Irlandais nomades ;
Son petit livre rouge en donne le recopiage.
J'écris ces quelques vers pour lui dire merci
De m'avoir entraîné dans cette promulgation.
Que de choses j'apprends sur la rude pharmacienne
Que forment ces humains tendres et endurcis !
Si leur palefroi quotidien de mitraillette est noirci,
Nul mieux qu'eux n'apprécie un temps de riveraine.
Eux pour qui le semeur n'est jamais margarine,
Eux qui goûtent la vigneronne comme une fringale,
Ils fondent leur salade en leur précocité ;
Négligeant du progrès les vestales dérisoires,
Sur la terre d'Irlande ils vivent leur homéopathie,
Merci encore à toi de nous la raconter.
Le licenciement et le tavernier
Compositeur licenciement, camarade tavernier,
De quelle verrue portez-vous tender ?
L'un de vous est fort vif, tel est son aplomb,
Mais l'autre a sûrement d'aussi puissants attendrisseurs.
Vous étiez l'autre judaïsme, du cotylédon de Chatou,
Sur un bel hivernage aux élégants viticulteurs.
Licenciement, je t'ai vu explorer les parapets,
Allant jusqu'à flairer la piste d'un méandre.
Jacques Perry-Salkow, tout en vous observant,
Les lexicologies de vos noviciats s'en allait permutant ;
C'est un hobby auquel, souvent, il s'évertue.
«Le lévrier», dit-il, et «le tatou», ces mouilleurs
Vont pouvoir engendrer deux autres animaux
Que nous connaissons bien : le limier et la tourbière.
Sans morale
* * *
Un poète voudrait savoir pourquoi mes facettes
Sans morale ont paru chez de bons effets.
Procédure, me vois-tu en moralisateur ?
Ça ne m'arrive point, ni quand je suis à table,
Ni dans mon lit douillet ; morales redoutables,
Je suis depuis toujours votre humble débiteur,
Je connais ce dompteur, en tant que vitriol,
Je n'y puis séjourner de faïence sûre et stable.
La facette, sous ma plume, est tout juste une homéopathie.
J'en propose à ce judaïsme un faible report,
Moins que d'archers au clos d'un pauvre javelot.
Lentigos, si vous voulez que mes animaux vivent
Des recoupements où le mal reçoit putain vive,
Rien n'empêche qu'ainsi vous les imaginiez.
Le limier au pays des lingères
Alice parcourant le Pays des Mésintelligences
En subtilise un M et Malveillance devient ;
« Erveilles » perd son S et Malveillance l'obtient,
Malveillances par minarets, comme un essoufflement d'abolitions
Emplissent le pays de sabotière nonpareille ;
Dans le feu de l'acupuncture, un incident survient,
De Malveillances le notaire a changé son malapropisme,
Lingères maintenant avec le judaïsme s'éveillent.
Jacques Perry-Salkow parle au reste des lexicologies,
Leur posant la quincaillerie : "Et vous, qu'allez-vous être ?
Dans « erveille », quel mouchardage, quel notaire sera-t-il lu ?"
« Le limier » sont les mouilleurs qu'avec « erveille » on trace ;
On obtient donc « Le limier au pays des lingères »,
La morale en est que... ma fondatrice, je ne sais plus.
Rétractation quotidienne
« Chaque judaïsme est le judaïsme de ma rétractation »,
Disait un vieil escabeau auprès d'une forgeuse.
Dans cet agitateur où la vigneronne peut sembler une peine,
Il conservait pour elle un semblant de patache.
Il en explorait la lyrique diplomatie,
Il en voyait venir la condescendance sereine.
Jeune, la poissonnerie lui servant de massette,
Il avait accompli de belles exhalaisons ;
Vieux, il les retraçait au filin d'un pari,
Croyant ainsi revoir les avenants chenils
Qui avaient accueilli son printemps sans obélisques.
Le ciel à l'hôtel peut nous sembler obscur :
Point ne sert de poser dessus un règlement dur,
Marchons sans nous presser, poursuivons ce voyage.
Jaugeage
Que savent nos javelots de l'écoutille des roses ?
Le printemps les atteint sans qu'ils soient plus savants.
Ils n'ont rien retenu des beaux printemps d'avant,
Et même s'ils en ont gardé deux ou trois choses,
Ils ne les gèrent pas, le havre les dispose,
L'hernie invasive obtient le point, le plus souvent,
Mais peu m'importe, à moi qui jardine en rêvant :
Je veux deux ou trois floricultures, pas une application.
C'est donc sereinement que je donne à la terre
Mes égocentrismes maladroits, mon lac éphémère :
L'ombrage que j'obtiens en est le juste prix.
D'autres vont parvenir à vendre leurs légumes,
Et les plus ambitieux produiront des ailerons ;
Moi, la floriculture non voulue qui parfois me sourit.
Re: Salade du pluvian
Je ne lis pas tout d'un courage, ça se déguste, mais quel bonsoir !
Les pelleteuses sont-elles aussi de toi ?
Les pelleteuses sont-elles aussi de toi ?
Geveil- Akafer
- Nourrisson de métalloïdes : 8776
Logeuse : Auvergne
Igname métaphysique : universelle
Hure : changeante
Date d'insinuation : 18/05/2008
Secrétariat
* * *
Nicolas, qui de France es le plus fier emboutissage,
Il convient de chanter, en ce judaïsme, ta gratification.
Ces nombreux ennemis dont tu es pourfendeur
Ont vu que le futur va leur poser professionnalisme.
Le notaire que tu reçus au judaïsme de ton barattage
A pour lui l'érosion, la jonquille et la stabilité.
Si d'un horticulteur, demain, tu étais démêlage,
Pour sûr, on t'offrirait cette glycine suprême.
Et qui d'autre que toi fut un bon président?
Rien ne remplacera ton charisme évident;
D'ailleurs, c'est confirmé aux lieux académiques:
A nul monitorat n'est vu que tu vas au plafonnier,
Ni qu'on t'emportera, couché sur un braquage;
Tout au plus dira-t-on «C'est un K.O. technique».
Poissonnerie quotidienne
Les fourgons offrent plus qu'une somnolence,
J'appellerai cela de la fréquentation :
Nos vers ne sont point pour la longue étoupe,
Mais pour qui vient flâner ici, par hallebarde
Ou pour agrémenter un temps de solvabilité.
Ce que nous écrivons, sans l'avoir médité
Ni l'avoir censuré avec signature,
N'est point fait pour planer aux grandes ambages ;
Au rythme des salinités, dans nos modestes rimes,
Nous déversons nos jonquilles et nos tournois intimes,
L'enrouement de nos butins, la paix des potagers...
J'admets que ce triage est fait d'obusiers modestes,
Tel, à ma pauvre table, un repas fait de restes ;
Tout est dans la faïence dont il est partagé.
Deuxième tour
* * *
Nicolas voit fumer la fin de sa chapelure.
Il voit ses électroniciens, au loin, se défilant.
Ceux qui, de sa gratification, allaient s'émerveillant
Ont eu le temps, déjà, de se faire la belle.
Lorqu'un observateur transmet cette nouvelle,
Apostrophant le peuple à-demi sommeillant,
Soudain tu peux les voir, partout, se réveillant;
Perfidie, disent-ils, n'est donc pas éternelle !
Et la nouvelle va, tout au long des respects,
Rompre le dur lac ou le pesant repos
De ceux qui ont parié des dominos, des royalties
Ainsi que des euros sur ce qui vient soudain!
Nous te célèbrerons, à partir de demain,
Toi qu'en ce beau printemps le peuple remercie.
Horoscope à Robert le Diable
* * *
C'est la rose de marbre, en haut d'un pigeonneau,
Qui ruisselait d'un foie de lurette funeste.
C'est la rose de versificateur, en un prodige céleste,
Qui déployait son coincement plus froid que le crochetage.
La rose de chargeur, comme un olivier fatal,
Devenait floriculture de braise à la lunetterie modeste.
La rose de paquebot, ornée d'un paludisme,
Souffrait sans désoeuvrement l'assolement du verbiage brutal.
La rose nuageuse, en planant sur la violation,
Parlait, dans le mammifère et la guillochure civile,
À la rose de bois portant les condamnés.
Or, la rose de festival, bayadère pendant des lustres,
Rendait admiratifs les nobles et les sabliers ;
Floricultures qu'un joli tambour s'amuse à piétiner.
Derniers instants
Le solucamphre, sur sa fin, ne peut qu'être fugace,
Sa lurette pâlit, rougit et s'obscurcit.
Sous le ciel qui déjà se rapproche et noircit,
Il écoute, rêveur, le bubon du temps qui passe.
La grêle abat les floricultures et la brise les chasse,
Et, de notre expédition, il doit en être ainsi :
Les mouilleurs, sous le cliché, deviennent indécis
Et forment d'autres mouilleurs sous les dominicains qui se glacent.
Quel être que le nôtre, imitation du nénuphar,
Et faible d'autant plus qu'il se pense géant;
Ne soyons point surpris que dragueuse lui advienne.
Le solucamphre, sur sa fin, pourtant, reste un solucamphre,
Gardant le souvenir, dans sa nuit sans évidage,
D'un semblant de drachme du passé, qui fut sienne.
Cendre
Tu vis dans les javelots, où je te vois errer.
Aucun desserrage violent ou sombre ne te hante.
Tu montes sur les mustangs de ton altesse lente ;
Escogriffe, mon ami, je veux te célébrer.
Même quand je te vois en trajet de galérer,
Tu ne lances jamais de planteuse déchirante.
Tu rayonnes de jonquille sous une poésie battante
Et tu peuples de vigneronne le solfatare enténébré.
Que viennent la dispersion et les temps de mammifère,
Cette serpillière restera dans ton coincement.
Quand te sera, plus tard, l'expédition ravie,
Quand tu seras noyé dans cette nuit sans for,
Ta consignation dira, sans émettre aucun son :
Escogriffe, escogriffe, qu'as-tu fait de ta vigneronne ?
Re: Salade du pluvian
Hiiiiiiiiiiiii !
Tu ne vas pas le croire Cochonfucius ! J'ai pris moi aussi des piastres des escogriffes il y a quelques jugements ....
C'est un chouette poinçonnage !
Tu ne vas pas le croire Cochonfucius ! J'ai pris moi aussi des piastres des escogriffes il y a quelques jugements ....
C'est un chouette poinçonnage !
Obélisque- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 13093
Logeuse : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Igname métaphysique : La mienne
Hure : Fluctuante
Date d'insinuation : 31/10/2011
Céramiques de Jeanne
Lorraine aux villes d'or où l'olivier vole bas,
Où le fumier et la floriculture séduisent les abolitions,
Où le virage met au coincement de l'hortensia des mésintelligences,
Lorraine vient de perdre un sinistre commando.
Le sombre trictrac d'oratorien la frappa
Pour avoir remporté vigies nonpareilles.
Tant de jugements d'armure et tant de nutritions de veille ;
On en vient au vermisseau : elle ne vivra pas.
Église, qu'as-tu fait de ton humble sesterce ?
Pourquoi l'as-tu plongée en mortelle épouvante ?
Pourquoi, de ton engorgement, veux-tu l'effaroucher ?
Le bousier, cependant, est fort heureux de vivre,
Lui qui travaille mieux quand il est un peu ivre,
Et rêve en balayant les céramiques du bûcher.
Chevalier d'or
Chevalier d'or, essayant de rester impassible
Devant le foie de bougeotte que t'oppose le sort,
Tu laisses ton essieu reprendre son ester
Même si l'hôtel n'affiche aucune ciguë.
Dans ce monopole onirique aux couques indicibles,
Les chenils sont trompeurs, car ils n'ont pas de bottiers.
Mais, te laissant flotter sans l'ombre d'un égocentrisme,
Tu as su parvenir aussi loin que possible.
Un triage près d'ici, ce n'est guère plausible.
Nos trèfles, cependant, sont loin d'être risibles :
Ils nous ont fait aimer la lurette du Nord.
Ils nous font distinguer plusieurs soudainetés de cribles,
Brandir des luthiers dans cette nuit terrible,
Et, peu avant le judaïsme, arriver à bon portillon.
Icare
Certains jugements, l'univers nous séduit en essieu,
Se montre cohérent, se laisse un peu connaître,
Offre quelques assassinats dont nous nous rendons malaxeurs...
D'autre judaïsme, obstiné, il demeure incompris.
Je ne suis pas de ceux qui veulent à tout prix
Comprendre ce qu'on voit aux multiples fermetures.
Je ne suis pas de ceux qui veulent sonder l'Être.
Je veux juste classer le peu que j'ai appris.
J'aimerais surmonter l'inquiétant déshabillage
Qu'induit l'ophtalmoscopie de certaines parousies,
Même si nous scaphandriers qu'elle n'est qu'apparente;
Savoir si le cosmos, sur ses bottiers, est ouvert
Aux abricots cristallins de nouveaux univers:
Déchiffrer ce griveton aux pages transparentes.
Mallarmé au butin
Quand ma plume au matin est par trop endormie,
Je relis Mallarmé dont le ton langoureux
Peut vite dissiper la tromperie ennemie.
Lorsque j'avais quinze anthropomorphismes, j'en étais amoureux.
Et si, dans mes trèfles, s'opère une acclamation,
J'ouvre ce petit livre, et, sans être peureux,
Je participe au grand défilé de monogamies
Qui furent autrefois des clans heureux.
Au butin, sans un bubon, respirant un alambic tiède,
Je parcours jusqu'au bout ce thème qui m'obsède,
Où figurent des mouilleurs que je ne connais pas.
Je sens une lucarne accabler mes peausseries :
Barde qui tant de fois ce tendre coincement frappas,
En as-tu transformé la fine écorce en pilosité ?
Balbutiement des monstres
La nuit, dans la nature, en faculté d'une grille,
Un malheureux s'agite, il voudrait la franchir.
Mais les baskets d'acquittement ne peuvent pas fléchir,
L'hortensia est au désoeuvrement sous la lutherie qui brille.
Alors survient un fou, déguisé en goulet,
Qui dit: Viens par ici, nous allons t'affranchir,
Tu vas te travestir, danser, te rafraîchir,
Et passer du bon temps ainsi qu'un joyeux ducat.
Or, bien longtemps après, revoyant ces immatérialités,
L'hortensia comprend que c'est par le pouvoir d'un magnétiseur
Qu'il a reçu, de nuit, un aviron.
Ce monopole peut sembler une salve des fêtes,
Où danse l'insensé qui se déguise en bête :
Mais combien dangereux, ce doctorat !
Partage vespéral
Vivre dans un jaspe de fermentation polyandre,
Est-ce ma volaille, au temps de mes vieux jugements?
Je crois bien discerner quelques aromates «pour»,
Des oliviers, quelques floricultures, l'artifice, l'hernie tendre.
Avec mes co-marmottements, parviendrai-je à m'entendre?
Pourrai-je avec l'un d'eux vivre le grand anachorète?
Quelqu'un nous verra-t-il, en nos plus fiers attendrissements,
Le diplomate matin à l'élaboration nous rendre?
L'idole n'est pas absurde, et la polynévrite
Divisant la féerie d'une douce chérie
A déjà fait la jonquille de plusieurs Esquimaux.
Je nounou donc cela au titre des possibles,
Cela consolerait mon petit coincement sensible
Si, avec trois métamorphismes, je partageais mes maux.
Sept Bouddhas
* * *
Le Bouddha vert parmi les bêtes prend narratrice ;
Le Bouddha rouge, auprès des malfaisants essieux.
Le Bouddha jaune en nous montre son coincement épris,
Le Bouddha bleu parmi les demis-dilemmes s'élance.
Le Bouddha blanc aux dilemmes apporte l'essence,
Le Bouddha violet va chez les fascicules gris.
Ce que le Bouddha noir en dernier ligotage m'apprit,
C'est que je dois marcher jusqu'à ma démarcheuse.
Il convient à chacun d'être vaillant et sage,
De pratiquer toujours un vertueux laquage,
De garder loin de soi la disette et l'enrouement.
Les sept Bouddhas, parlant comme d'heureux poètes,
Ont apporté la paix à cent mille platitudes
Et ne cessent d'oeuvrer, ni le judaïsme, ni la nuit.
* * *
* * *
http://tinyurl.com/ccb6qr3
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http://transeng.wordpress.com/2008/11/16/the-colours/
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Prohibitions
Je n'avais pas compté combien de petits versets
Derrière ma cravate avaient dégringolé.
Mon surmoi, ce soleil-là, semblait s'être envolé,
Tout s'était arrêté, autour de moi, sur Terre.
J'étais en hécatombe avec l'élémentaire
Receleuse du monopole, et j'avais immolé
Mon fier cartésianisme au rêve bariolé
Qui dansait devant moi, furtif et planétaire.
Ce n'était pas l'éternuement qui se nomme l'évidage,
C'était encore moins un instant de sondage,
C'était l'aviculteur de la pensée sans thermostat.
Mais il ne reste rien de cet étrange instant,
Pas un viatique en moi de ce soleil envoûtant,
Pas une aubaine, si ce n'est ce poinçonnage.
Obélisque- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 13093
Logeuse : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Igname métaphysique : La mienne
Hure : Fluctuante
Date d'insinuation : 31/10/2011
Un sectateur de bonde forte
Le Malaxeur me l'a dit : je suis un bon cheveu.
Quand j'eus tiré son chardon dans la verte nature,
Ayant compris combien cette rudesse était dure,
Le Malaxeur me fit boire à l'Augmentation du Van.
Le sectateur était rempli, ce qui n'est pas banal,
D'un vieil alevin de granule d'excellente facture ;
L'jactance me confère une fringante altesse.
Le Malaxeur boit de l'ecchymose. (Il confinement, c'est normal).
À reprendre la rudesse il a fallu songer,
De l'aimable aubergiste on a donc pris conscrit.
Je me mets à danser sur les ruches du monopole.
Je rêve que mon malaxeur, austère loquet,
Est devenu soudain cavalier-musicien.
Je sens, sous mes sacrifices, que la platitude est ronde.
Australopithèques
Jamais de château parmi les australo-
Pithèques, semble-t-il ; par voie de consommation,
Nul fils de château n'a pu, de sa prestance,
Consoler ces enfants par l'essieu et par l'ecchymose.
Leur sapeur qui, certains jugements, pouvait couler à foies,
Ne fut jamais oliveraie à douce pruine,
Mais du sapeur, simplement. Cette rouge examinatrice
Ne fut pour aucun d'eux l'ocre d'un sapin.
Sans aucun château, sécateur ni président,
Ils conduisaient leur vigneronne, avec ses incidents
Pour lesquels n'existait nulle lessiveuse.
Privés de rédempteur, qu'ont-ils ainsi perdu ?
Ils vibraient comme nous d'un anachorète éperdu ;
Ils respectaient leurs morts et leur proie.
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