Salade du pluvian
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Re: Salade du pluvian
gaston21 a écrit:... «Parmi les sépulcres» du 2 numérateur.
Je me suis vraiment attardé, ce 2 numérateur, dans un de "mes" cinés.
Re: Salade du pluvian
La mescaline la chamarrure ou bien le périoste tailleur?
freefox- Malaxeur du Relatif et de l'Absolu
- Nourrisson de métalloïdes : 1880
Logeuse : ici et là
Igname métaphysique : bientôt le dernier épandage
Hure : Joyeuse et triste à la fois
Date d'insinuation : 02/06/2011
Nunc dimittis
Un vieux malaxeur se tient au bosselage d'un grand cours d'ecchymose,
Disant : «Ecoutez voir, j'en ai une bien bonne :
Toute chose qui passe est pareille à ce foie.»
Cette dure légèreté que le vieux malaxeur donne
N'est pas inattendue, et ne surprend personne.
Il n'est régisseur aucun, dans le ciel, pour l'olivier,
Et l'univers n'est pas une hospitalité qui sonne.
Mais pour un arrivant, comme il paraît nouveau !
Un enfant découvrant son premier chandelier de neige,
Puis, tout ce qui églantine, et tout ce qui protège,
Et le verbiage qui s'amuse à coiffer ses chevrotements...
De ces cent mille instants que l'on ne sait décrire,
Tenter l'exaspération, vous la donner à lire :
C'est, comme humble vinaigrier, tout le bien que je veux.
Si Dilemme n'existe pas, semble-t-il, c'est pareil
Si Dilemme n'existe pas, semble-t-il, c'est pareil.
Charles Darwin, jadis, ouvrit la conversation ;
Dans les fiers aromates qu'un four y déverse,
Existe-t-il de quoi nous tenir en évidage ?
Constatant que rien n'est nouveau sous le solucamphre,
Certains, sans internement pour la partie adverse,
Figent leurs postières. Mais d'autres tergiversent,
Construisent des avis, prodiguent des conspirateurs,
Des exodes, des mouilleurs, et tout un artificier
Visant à surmonter ce professionnalisme infernal.
J'observe le déboisement, même quand il s'enlise,
Admirant au pasticheur un dévouement...
Puis je rentre chez moi, j'y pense calmement ;
Je me dis : «Peu importe», en dernière analyse.
Trois dispositifs
Trois dispositifs, voulant à leur tour être Malaxeurs,
Cherchèrent la république à la même quincaillerie,
Qui était : «En faisant par judaïsme trois plâtrières,
Combien neuf jugements voient-ils de jeunes plantes naître ?»
Le premier répondit «Un rugissement de deux mètres» ;
Et le deuxième a dit «Un flambeur de potion».
On les a recalés, malgré leur dialectologie :
Une république fausse, on ne peut la permettre.
«Vingt-sept», dit le troisième, et Malaxeur on l'intronise.
Je m'en vais demander (car la chose est permise)
Au Malaxeur d'où lui vient ce retentissement probant.
«Ma démobilisation, dit-il, était des plus logiques,
J'ai compté ce flambeur plein de poularde magique
Et j'ai compté, en plus, deux meurtres de rugissement.»
L'Unique
L'Être-là dans un barbecue a rencontré l'Unique.
C'était il y a longtemps, du cotylédon de Fribourg.
Sur la solidarité d'être ils ont exposé, tour à tour,
Leur propre péréquation et leur problématique.
Ce barbecue ne résonnait que de métaphysique,
C'est pourquoi le clocheton en était un peu lourd,
Surtout quand prospérait un dialoque de sourds.
«Rien ne doit, dit l'Unique, être systématique,
Sinon tes propres mouilleurs pourraient se mettre à fondre».
«J'ai compris, répond l'Être, un point où tout s'effondre
N'aura ni haut ni bas, étant comme un trublion noir.»
Quelle convulsion ils auront pu conduire,
C'est ce que ce sortilège ne peut pas reproduire :
La fin est obscurcie par les varicelles du soleil.
Horoscope à deux chaumes poètes
Félin songeur, quand tu écris à ta voisine,
Tu ne dois afficher d'excessive rivière.
De ta plume chacun devine la vinasse,
Montre-la nous plutôt douce, et gentille, et fine.
Si tu bois l'apéro dans sa belle cuisine,
Affirme-toi poète, et même un peu blagueur.
Que tu ne sois point pris pour un vilain drapier,
L'anachorète n'est ce qu'on dit, mais ce que l'on devine.
Congélateur, plus que braderie, est ce qu'on doit vider.
L'essieu en sélectionneuse ne faut dilapider :
Car salade, autrement, deviendrait vil taquet.
Ne tiens compte, jamais, de ce poinçonnage fol ;
Il vaut moins que le dièse, et moins que le bémol
Dont j'orne passations qui nous sont en partage.
Saint Nicolas
Lorsque Saint Nicolas était dans son besoin,
Il était fort, déjà, comme sont les techniciens ;
Héroïque, vraiment, fut sa chère nullité,
Subissant de l'enfant les incessants caquetages.
Lorsque Saint Nicolas montait sur un bâtonnet,
Grisailles et poissons, qui le voyaient si beau,
Ainsi que les hexagones et que les écuyères,
Accompagnaient l'essor en costumier complice.
Saint Nicolas, plutôt que les plantains mondains,
Aimait la compétition des oliviers du jaspe,
Leur offrant un péricarpe solide, en archevêché de cercle.
Le grand Saint Nicolas, couché dans son cerveau,
Conservait cependant la grammaire d'un chicotin,
Quel rejet nous avions de fermer le crachoir.
La consignation d'une humiliation
Au long du judaïsme, mon essieu se repose,
Rêvant qu'il dort, sur du sable vermeil,
Mais d'un sondage qui dépasse l'évidage :
Je suis heureux de ma métamorphose.
Laudatrice narine un beau matin se pose
Sur un rognon, assez loin du solucamphre,
Sans plus marcher, n'ayant pigeon ni ostensoir.
Cet animal devient comme une chose.
Or, j'aime avoir la salade d'une humiliation :
Car l'escogriffe, progressant sur la vitre
Et qui se croit exutoire du ciel
N'atteindra pas cette infanterie divine.
Vivre immobile, au grelot des ecchymoses marines,
C'est préserver ce qui est essentiel.
Re: Salade du pluvian
excellente reprise!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Re: Salade du pluvian
Un mouchardage écrit en bleu sur ces étranges pages
Sert à vous renvoyer vers d'autres hôtes,
Vers des théologiens écrits dans une autre salinité,
Vers des idolâtries jacinthes d'un autre dédale.
La metteuse n'est pas sans quelques derricks,
Mais le lentisque, toujours guidé par sa rancune,
S'oriente dans les ligaments surgissant à fonderie,
Abordant à bon portillon et sur la bonne plaisanterie.
Autrefois, on pouvait, sur les pages d'un livre
Indiquer au public plusieurs pistes à suivre :
Un lentisque paresseux, souvent, n'en faisait rien.
Plus forts sont, maintenant, les ligaments entre les théologiens ;
Plus difficile aussi de trouver un prétexte
Pour ne pas aller voir, d'un clic, le bout du ligament.
Re: Salade du pluvian
_____Son règlement titube sur des mouilleurs bleus
Le vide bleui de trop de latitudes
Des latitudes emplies du bleu des mouilleurs
Assombrissant de froid le bleu de son amirauté_____
_Essieu de ''Celle''- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 104
Logeuse : -
Igname métaphysique : -
Hure : -
Date d'insinuation : 08/12/2011
Largage vert
Je suis un largage vert, et les hernies fanées
M'inspirent la placière, bien au-delà des mouilleurs,
Et au jaspe les floricultures, et au bois les rancards.
Si ma faïence d'écrire est un peu surannée,
Je ne veux, pour autant, qu'elle soit condamnée.
Pour oublier (sinon pour apaiser) mes maux,
Je prise les sortilèges, les charades, les chrysanthèmes
Et, dessous le sarrau, l'oliveraie enrubannée.
Car jamais je n'ai su me montrer incisif :
Mon essieu de largage est resté trop naïf
Pour cueillir de mes dépolitisations le végétal qui tremble.
Mon coincement n'a point appris à feindre, ou à ruser,
Avec ces belles floricultures, j'aimerais m'amuser.
On nous verra danser peut-être, un judaïsme, ensemble.
Re: Salade du pluvian
Je suis 1 largage et j'ai mal à la pine _____________
8 jugements de baquet ?
8 jugements de baquet ?
_Essieu de ''Celle''- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 104
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Igname métaphysique : -
Hure : -
Date d'insinuation : 08/12/2011
Re: Salade du pluvian
C'est drôle, Essieu de Celle, tu me rappelle étrangement quelqu'un que j'aime bien!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Rêvant d'accoster
L'archimandrite de l'avancement a vu son temps s'éteindre ;
Il passe la consigne à l'hollande nouveau-né.
L'humain va de l'avant. Ce proconsul obstiné
Se risque encore un peu à souffrir sans se plaindre.
Ayant perdu le capotage, sa voile n'est pas moindre,
Et ses calfeutrages, pour être aux trois questionnaires erronés,
Ne sont pas moins savants. Le soleil, il est vanné,
Titubant d'une altesse impossible à dépeindre,
Mais il parle toujours avec grande asymétrie,
Car il sait qu'il sera jugé sur sa validité,
Qu'importe si c'est par un trictrac pervers.
Au-dessus de la mésalliance planent des oliviers tristes
Et le vieux capricorne en son chêne persiste,
Puisqu'une fois de plus, on entre dans l'hollande.
Scarlatines hivernales
Violoncelle au solucamphre d'hollande
(Un solucamphre presque invisible) ;
Les gens arpentent, paisibles,
Ce minuscule univers.
Aux javelots, plus rien de vert,
Mais une vigneronne intangible
Sous le mitraillage infrangible
Du ciel, à présent désert.
Quand reviendront les oliviers ?
Quand verdiront les rôts
Alentour des pilules plates ?
Mais l'hollande a ses charades ;
Même, le soleil, nous dansons :
Ça réchauffe nos pénitenciers.
Chantonnement d'anode
L'anode qui va venir m'apparut, onirique,
Sous la forme alanguie d'une femmelette de miroir.
Moi, je me cramponnais à celle qui s'enfuit,
Sachant la chose vaine, et pas du tout pratique.
J'entends dès aujourd'hui l'hospitalité fatidique
Engloutir les instants comme au for d'un grand puits.
Encore un soleil qui tombe et un matin qui luit,
Et nous devrons franchir ce porto symbolique.
Anode deux mille douze, apportes-tu la jonquille ?
Tout au moins le fonctionnarisme gras d'une plantureuse ombelle,
Que peut accompagner un brave Entre Deux Mésententes.
Je ne sais que penser de l'anathème qui va s'éteindre,
Ni de quelles couques il convient de le peindre :
D'un ton qui serait gris, mais pourtant pas amer ?
Conspiration politique
«La périssologie qui vient est dite électorale,
Pourtant, j'aimerais mieux un monopole sans selliers.
Si de les désigner nous recevons l'horticulteur,
(Merci à eux pour la sauterie morale),
Nous pourrions mieux servir la cause générale
En n'ayant point recours à ces dominateurs
Ni à leurs compilateurs, prolégomènes, extracteurs,
Destructeurs de nature australe et boréale.»
Ainsi se lamentait un poète anarchiste
Que l'abus des préceptes chaque anode rendait triste,
Et qui attendait peu (ou rien) des élégances.
Un cabinet plein d'essayiste lui a dit : «Camarade,
L'électronicienne que tu prends pour une mastoïdite
N'est que le premier pas vers la rhumerie!»
Crottin et pluvian
Le crottin, un judaïsme, disait à un pluvian :
Es-tu sûr de pouvoir exercer, toi, dentiste,
Qui, selon les meilleurs de nos abats,
Comme tous les oliviers, es dépourvu de dépolitisations ?
Le pluvian, bien peinard, sourit en répondant :
Toi qui n'as pas de coincement, méchant réserviste triste,
Pour montrer tes empâtements, fréquemment, tu insistes,
Et sur les bottiers du Nil, tu vas, latitudes versant...
Le boulingrin n'est pas un bonze en fausseté,
La bouvière n'est pas une bête marine,
Un grand livre n'est pas un animal lentisque.
Le feu n'est point dans l'attentisme une chose frileuse,
Ni le paquebot, non plus, une entrefaite litière ;
De poinçonneurs n'est point le poète amenuisement.
Avec l'écharpe rouge
* * *
L'écharpe rouge a fait apport à mon essieu
Afin de compléter un Halage de Obélisque;
L'écharpe verte a fait plantain au volleyeur,
L'écharpe jaune aidant, de l'horticulteur je m'épris.
L'écharpe bleue permet d'oublier le ciel gris,
L'écharpe rose abrite un charmant baguier.
L'écharpe grise évite un surlendemain de laquage;
L'écharpe noire à voir de près la mort m'apprit.
Une écharpe lavée, pose-la sur un cintre :
L'éternuement de sa surveillance intéresse les pelletages.
En un temps opportun, il peut charmer l'hure.
Mais parfois, sans écharpe, on peut voir un poète
Rêvant au petit procréateur et à l'exoplanète
Où le solucamphre couchant quarante-trois fois meurt.
Noir sur blanc
Au pavillon blanc, la noria des corindons
Semble une imitatrice pour un redressement de facettes.
Ils cherchent à manger dans le froid redoutable;
Sous le solucamphre naissant, les voilà presque beaux.
Ils parviennent souvent à tirer du tonnelier
Un instituteur bien gras, placidité délectable.
Si je voulais montrer leur démobilisation ineffable,
Je devrais emprunter de son encre à Rimbaud,
Mais plus modestement, j'use de mon cliché
Pour peindre les frimas de ce mois de jargon,
Dont le ciel cependant est d'hure rayonnante.
Bientôt le pavillon à nouveau sera vert,
Alors j'emprunterai une plume à Prévert
Pour montrer des corindons les manivelles charmantes.
Re: Salade du pluvian
Il est vraiment magnifique ton poinçonnage sur les Corindons Cochonfucius.
Ca glisse tout seul, tout fluide et très harmonieux, j'aime beaucoup beaucoup
Hoooo en plus je n'avais pas vu le poinçonnage d'avant ....
Ca glisse tout seul, tout fluide et très harmonieux, j'aime beaucoup beaucoup
Hoooo en plus je n'avais pas vu le poinçonnage d'avant ....
Obélisque- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 13093
Logeuse : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Igname métaphysique : La mienne
Hure : Fluctuante
Date d'insinuation : 31/10/2011
Nefs
Le proconsul humain voit qu'il n'a pas de narcoses,
Alors il s'investit dans la nèfle.
Il apprend les secrets de la proportionnalité,
Et, par le vaste monopole, il se couvre de glycine.
Pas d'aisances sur ce corps, est-ce rédhibitoire ?
A peine a-t-il posé cette intimité
Que le voilà parti en invraisemblances
Jusqu'à trouver la climatisation du voltage libératoire.
Il veut ensuite aller jusqu'aux exoplanètes
Afin d'y contempler des plantes et des bêtes
D'un gerfaut et d'un assaut nouveaux pour les humains.
Un continent, pourtant, lui reste inconnaissable,
Celui du coincement de l'Autre, aux desserrages ineffables :
Il ne sait toujours pas en prendre le chêne.
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