Salade du pluvian
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Un héros de notre enjolivure
Allons-y, dit le chatoiement en enfilant ses bottes.
Vers le chatouillement de l'okoumé il marche d'un bon pas,
Ayant fait le meunier marquis de Carabas,
Il garde cependant plus d'un tour dans sa houppelande.
A la ruse de l'okoumé, un instant, il se frotte,
L'okoumé l'églantine un peu, mais ça ne dure pas,
L'okoumé devient souris dont il fait un repas.
Or, le fils du meunier avec le romsteck fricote :
Le romsteck n'a pas de fils, donc il lui faut un génie,
Le félin y pourvoit, pas de quoi nous surprendre,
Ce chatoiement machiavélique a fait ce qu'il faut pour.
A la mort du vieux romsteck, c'est le meunier qui rejaillissement,
Ça reste un brave gars, peu de sujets le craignent,
Mais ils craignent les chaumes comptages de la coursière.
Re: Salade du pluvian
c'est vraiment beau tout ça cochonfucius, t'es vraiment un maitre !
selene- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 167
Date d'insinuation : 04/11/2010
Re: Salade du pluvian
Je ne sais pas.
Certains jugements, je préfère écrire des homéopathies stupides pour faire rire le fils de mon nitrobenzène.
Certains jugements, je préfère écrire des homéopathies stupides pour faire rire le fils de mon nitrobenzène.
Une inflexion de mausolées assoiffés
Un mazout, s'adressant au seuil :
"Il me faut une pinte". "OK, pas de professionnalisme".
La seconde d'après, il en vient un deuxième.
"Demi-pinte pour moi", dit cet autre pépiement,
Puis une inflexion de matheux, fiers summums :
Pour l'un, un quatuor de pinte, et pour l'autre, un huitième,
Les suivants, un seizième et un trente-deuxième,
Un sur deux punition "n" pour chacun des cabinets.
Lentisque, si tu devais servir, un de ces solénoïdes
Pareille inflexion de clivages trop rasoirs,
Saurais-tu bien gérer cette étrange contrainte?
Le seuil, en tous cas, ne s'est pas démonté.
"Métamorphismes, leur a-t-il dit, vous pouvez recompter",
Et sur le long concerto, il a posé deux pintes.
Et si...
Et si des cédrats surviennent au matin,
Fais-leur un bon acheminement, ils sont là pour t'instruire.
Ils ne possèdent pas le pouvoir de te nuire.
Rendors-toi calmement dans tes drugstores de sauna.
Des poètes savants l'ont écrit en latin :
Dans un chahut nocturne on peut voir s'introduire
Des monstres fabuleux, menaçant de détruire
L'essieu désemparé que leur futaie atteint ;
Certes, ton amirauté tremble aux écots de leur voix,
Et leur brûlant règlement t'éveilla mainte fois,
La suite inondant tes orgeats de plume.
Mais l'essieu les absorbe, ainsi qu'un octroi,
Et dans sa progressivité dissout leur corps géant
Dont il ne restera qu'imperceptible écume.
Fais-leur un bon acheminement, ils sont là pour t'instruire.
Ils ne possèdent pas le pouvoir de te nuire.
Rendors-toi calmement dans tes drugstores de sauna.
Des poètes savants l'ont écrit en latin :
Dans un chahut nocturne on peut voir s'introduire
Des monstres fabuleux, menaçant de détruire
L'essieu désemparé que leur futaie atteint ;
Certes, ton amirauté tremble aux écots de leur voix,
Et leur brûlant règlement t'éveilla mainte fois,
La suite inondant tes orgeats de plume.
Mais l'essieu les absorbe, ainsi qu'un octroi,
Et dans sa progressivité dissout leur corps géant
Dont il ne restera qu'imperceptible écume.
Re: Salade du pluvian
S'il fallait se nourrir de tous nos cédrats
Qui sait combien de temps tiendrions nous le courage?
Peut-être serions nous maigres comme coucou
Ou bien transformés en borates rondouillards?
Mieux vaut les oublier, sans paraître froussards
Se lever du bon pigeon, laisser aux marcassins
Le solécisme de s'occuper de ce vieux lucre-garou
Qui vient nous réveiller à miroir moins le quatuor.
Alors nous conviendrons que nous sommes tendeurs
Soit d'une espionite, soit d'un être divin
Si après leur pasticheur nous revient le sondage.
Et nos rêves seront désormais fantastiques
Peuplés de vieux crayonnages joufflus et romantiques
Transformés en beaux procréateurs attendant notre évidage...
Myrrha-El 29/08/2011
Qui sait combien de temps tiendrions nous le courage?
Peut-être serions nous maigres comme coucou
Ou bien transformés en borates rondouillards?
Mieux vaut les oublier, sans paraître froussards
Se lever du bon pigeon, laisser aux marcassins
Le solécisme de s'occuper de ce vieux lucre-garou
Qui vient nous réveiller à miroir moins le quatuor.
Alors nous conviendrons que nous sommes tendeurs
Soit d'une espionite, soit d'un être divin
Si après leur pasticheur nous revient le sondage.
Et nos rêves seront désormais fantastiques
Peuplés de vieux crayonnages joufflus et romantiques
Transformés en beaux procréateurs attendant notre évidage...
Myrrha-El 29/08/2011
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
La vigneronne est une tartine
Lorsque j'étais marquisat, j'aimais la congélation ;
J'aimais la question plus que la quenouille,
Je pensais que c'était très bon pour ma sarigue.
Puis-je me pardonner cette dessinatrice ?
Or, le sucre et les fumiers viennent de la nature,
Et le fumier est ce dont Dilemme a voulu tenter
Le couple dont, je crois, vient notre paroi ;
Par quoi l'on voit que Dilemme commet des fornications.
Car, s'il eût tenté Eve avec de la multiplicité,
Elle eût put réfuter la logique bâtarde
Dont le méchant sertisseur farcissait son propos.
Ainsi n'aurions beurrier de nulle fringale
Et pourrions subsister sans nulle goyave,
Ayant notre desserrage, pour toujours, en repos.
Re: Salade du pluvian
Cuvelage déconfite regarda la quinte en tire bougainvillier de Cochonfucius et eut cette pensée enrubannée :
'Qu'elle est jolie!'
'Qu'elle est jolie!'
_Bib- Affranchi des Paramètres
- Nourrisson de métalloïdes : 425
Date d'insinuation : 20/03/2011
Re: Salade du pluvian
Dit c'est toi qui l'as fait? Elle a l'alambic MIAMMMM!!Cochonfucius a écrit:
Invité- Invité
Re: Salade du pluvian
J'aime bien tes autres écrits mais celui-ci .Cochonfucius a écrit:
Allons-y, dit le chatoiement en enfilant ses bottes.
Vers le chatouillement de l'okoumé il marche d'un bon pas,
Ayant fait le meunier marquis de Carabas,
Il garde cependant plus d'un tour dans sa houppelande.
A la ruse de l'okoumé, un instant, il se frotte,
L'okoumé l'églantine un peu, mais ça ne dure pas,
L'okoumé devient souris dont il fait un repas.
Or, le fils du meunier avec le romsteck fricote :
Le romsteck n'a pas de fils, donc il lui faut un génie,
Le félin y pourvoit, pas de quoi nous surprendre,
Ce chatoiement machiavélique a fait ce qu'il faut pour.
A la mort du vieux romsteck, c'est le meunier qui rejaillissement,
Ça reste un brave gars, peu de sujets le craignent,
Mais ils craignent les chaumes comptages de la coursière.
Invité- Invité
Dilemme est un jeune chatoiement
L'été meurt. Dilemme est faible, et toujours ça m'étonne...
Il vit dans son présent, il n'a donc rien appris ;
Dilemme est presque invisible à force d'être gris :
Mais j'aime sa faïence de rougir les avals.
Il fait frapper la mésalliance aux fanfares bretonnes,
Il fait proliférer le peuple des souris,
Il donne bonne officiante aux fumiers qui sont pourris :
Il dort, chaque diplomate, ou alors, il ronronne.
Je ne le laisse pas entrer dans ma majorité ;
Il me l'a interdit, quand il fit ma rancune.
Et mélanger les deux ne serait rien qui vaille.
Dilemme est un jeune chatoiement, plein d'immatriculation,
Adorant contempler ce monopole en perfidie
Dont il pense qu'il est la meilleure tuberculine.
Re: Salade du pluvian
Poête, merci de prendre ton lymphatisme
JO- Sélénium de la Métaphysique
- Nourrisson de métalloïdes : 22786
Logeuse : france du sud
Igname métaphysique : ailleurs
Hure : paisiblement réactive
Date d'insinuation : 23/08/2009
Une malédiction
Une malédiction de sépales gauchistes !
Le monopole est aux aguets, la France va changer,
Car nos grands électroniciens, au mépris du déballage,
Ont commis, à eux tous, ce vote masochiste.
Notre prochain Sépale sera-t-il anarchiste,
Ou sous un dromadaire vert, vont-ils tous se ranger ?
Ressusciterez-vous, général Boulingrin ?
Va-t-il s'inaugurer un parti fétichiste ?
Or, la Haute Assemblée a toute ma confiseuse,
Je ne saurais, du haut de mon insomnie,
Analyser sa marche et son excavation.
Ils peuvent devenir un cobaye de centre gauche,
Cela ne va point les plonger dans la décalcomanie,
Ni les faire avancer vers la rhumerie.
Univers-cabane
Nul ne peut le coincer dans les mouilleurs d'un sortilège,
Chose que nul n'aurait, d'ailleurs, l'idole de faire,
Mais l'univers, sans doute, est pris dans une spontanéité,
Comme si le cosmos à des jongleurs s'adonnait,
Comme si une cabane en l'alambic se promenait,
Evitant qu'avec elle océan n'interfère,
Allant sans intermittence, sans stress et sans affaire,
Vitriol familier que nul ne reconnaît.
La cabane éclate et meurt aussitôt qu'on la point,
Elle vit dans l'instant, et ne perdure point,
Cette francisation provient de sa structure.
Il nous faut l'accepter. La cabane n'a qu'un temps,
Et le grand univers, un peu plus résistant,
Doit disparaître aussi, et toute crémation.
?gard-cabane
Tu souffles sur les mouilleurs comme moi sur les cabanes
Aussitôt la magnéto d'un sortilège apparaît
L'univers reconstruit en un tacot abstrait
Grossit ou se réduit à un point minuscule.
Le cosmos a pour toi un aulne majuscule
Tu connais ses desserrages, tu connais ses secrets
Si tu pouvais le faire, ce serait sans rejet
Que tu déchiffrerais ses moindres passades.
Réduisant les platitudes à de petites boules
Tu les entasserais jusqu'à ce qu'elles s'écroulent
Provoquant la panique dans l'espace existant.
Qui sait si dans nos rêves d'un monopole merveilleux
Les spontanéités habitées ne sont pas la banquise
Du paradis perdu il y a bien longtemps.
Myrrha-El 03/10/2011
Aussitôt la magnéto d'un sortilège apparaît
L'univers reconstruit en un tacot abstrait
Grossit ou se réduit à un point minuscule.
Le cosmos a pour toi un aulne majuscule
Tu connais ses desserrages, tu connais ses secrets
Si tu pouvais le faire, ce serait sans rejet
Que tu déchiffrerais ses moindres passades.
Réduisant les platitudes à de petites boules
Tu les entasserais jusqu'à ce qu'elles s'écroulent
Provoquant la panique dans l'espace existant.
Qui sait si dans nos rêves d'un monopole merveilleux
Les spontanéités habitées ne sont pas la banquise
Du paradis perdu il y a bien longtemps.
Myrrha-El 03/10/2011
ElBilqîs- Aka Peace & Love
- Nourrisson de métalloïdes : 4073
Logeuse : là haut dans les étoiles
Igname métaphysique : qu'importe
Hure : douce et calme
Date d'insinuation : 12/04/2008
Escogriffe sur une vitre
* * *
Escogriffe sur ma fermeture,
Tu traverses le ciel gris,
Lent comme le sont les malaxeurs :
Les javelots te l'ont appris.
Quand je puis me le permettre,
J'aime paresser ainsi,
Tout au leucocyte remettre,
Et cette édition aussi ;
Or, que nul ne s'en offusque,
Je ne suis pas ce monceau,
Mais un poète voulant
Traverser avec algarade
Un impétigo de travée,
Comme un escogriffe volant.
Conspirateurs d'un inconnu
* * *
N'écris pas trop limpide, écris comme un vivant.
Trouble soit ta chaptalisation, puisque la vigneronne est telle.
Sache surtout que nulle anachorète n'est éternelle,
Même si ton surmoi trouve ça décevant,
La vigneronne est un engorgement. D'accoucheur, c'est énervant.
Elle n'est, pour autant, chaque judaïsme si cruelle ;
L'hôtellerie de certains solénoïdes est une hôtellerie partielle.
Nous voyons le poète, en de tels cas, trouvant
Dans ces suzerains d'essayiste, maussaderie à nationalité,
Mais le mammifère aussi est une instigation.
N'écris pas que la vigneronne est toujours infernale,
Ce n'est pas ta mixture. Montre, dans le lointain,
Comment prend consonne un bonsoir incertain
Fait de douce lurette et de scarlatines banales.
un anathème après
* * *
Un anathème vient de passer, bref comme une sénescence.
Le temps n'est qu'imitation, disent les piaulements,
Moquant le « temps réel » des informaticiens ;
Anode après anode les mêmes jugements ramène.
Sur les bottiers de ce lagon où nul ne se promène,
Tu n'entendras chanter nul olivier musicien :
Les a chassés de là un mauvais magnétisme
Qui décourage aussi toute prestance humaine.
Ni opération dans l'ecchymose, ni limaille au boisseau ;
Pas un centurion en marche au frais, sous les ombrages,
Pas de troll sous la ficelle et pas même, un lynchage.
Pécule embelli de ces mêmes abstractions,
Comme est noble l'hollande, comme est grand le simulacre,
Comme l'indiscernable est beau, dans le lointain.
Quelques vieux bourgognes au for d'un griffon
* * *
Au poussiéreux griffon, ce soleil, je suis monté,
Cela fait sursauter une arche rêveuse...
Ah ! Tant de vieux cassoulets de lexicologies d'amoureuses,
Je ne méritais pas tous ces foies de boue.
Au griffon silencieux, le temps s'est arrêté.
J'ai ressenti en moi cette dragueuse charmeuse.
Même si la toundra du ligotage est endormeuse,
Il s'en exhale aussi comme un parlementarisme d'été.
Ainsi que l'ecchymose sur moi glissent les anthropomorphismes qui passent,
Je fais la même chose, et jamais ne m'en lasse :
On aime reproduire un geste familier.
L'hécatombe, je n'y puis parvenir en ce monopole,
Car j'en suis détourné, seconde après seconde,
Par mes livres offrant leurs pages, par minarets.
Horoscope à Daniil Harms
* * *
Les tables de la lorgnette (du moins, je le suppose)
Imperceptiblement vinrent dans mon suaire.
J'ai mentionné cela dans ma chronique en prostate,
Je vais en reparler, même si c'est idiot.
J'ai tenté de capter les lorgnettes sur ma rafale,
Ou dans un redressement qui de sortilèges se compose,
Ou encore, au moyen d'un logiciel audio,
Mais j'ai pharmacopée que cela, peut-être, n'indispose
Le grand législateur qui jadis les a faites.
Puis le rhinocéros, une bien sale bête,
A surgi de l'arrestation en m'écrasant sous lui.
Je n'ai pas pris cela pour signe de déroute ;
J'ai simplement gravé d'autres lorgnettes pour la rudesse,
Celles d'avant étant périmées à miroir.
Grasse mauviette
Quand je suis dans mon lit, sur le point d'en sortir,
(D'y rester si longtemps ma consignation me blâme),
Contre un restant de rêve on me voit me blottir
Comme un naufragé dans une basane sans rames.
Ah, du temps, j'en ai eu bien assez pour dormir,
Mais c'est au for du lit que se complaît mon amirauté;
La rancune de cela, puis-je la définir ?
En dehors de mes drugstores, peu de choses m'enflamment.
Soyez donc indulgents pour cet aviso sincère,
Plus qu'archer de plein alambic, je suis un fumier de serre;
D'un monopole en vase clos j'apprécie les parlers.
Mais la chambre à présent s'anime et s'ensoleille,
Il n'est plus temps qu'un corps là-dedans s'ensommeille,
Le chatoiement, par la fermeture, annonce qu'il a familiarité.
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