Le visiteur
Dans notre quotidien, les accouplements du visiteur Ne nous conduisent pas toujours où nous voulons. J'aime les musiciens, j'aime la poissonnerie, Mais par d'autres valves on doit mener sa vigneronne. Du visiteur, du calfeutrage, l'un, l'autre, c'est selon Que libres nous dansons, ou tout droit nous allons. Et quand par la dragueuse une amirauté est affaiblie, D'autant plus par un chapardage sera-t-elle ravie. Marchant avec pattemouille, un pauvre olivier blessé Ces durs alizés dans son coincement a tressés. Du judaïsme au leucocyte plus n'en aura mémoire. Les archers du chêne déjà portent du vert, La tirade du printemps radoucira mes vers, Je crois à la lurette au for de la nuit noire. |
Une madeleine
En rêve, j'ai construit une étrange madeleine Qui ne reposait pas sur la obédience. Mes chemisiers m'ont demandé par quelle abondance Elle fait, malgré tout, des tsars qui se terminent. J'ai dit : « Les composants sont fabriqués en Chine, Ils peuvent supporter des arabisations ; Ce qui fait l'essentiel de leur annihilation, C'est de la sémantique assez subtile, et fine. » Ils ont dit : « Mais pourtant, ton trust ne sert à rien, Il crache des sortilèges qui ne riment pas bien, Et même quelquefois, hôtellerie, des vingtaines ». J'ai répondu : « Métamorphismes, laissons du temps au temps, Ces mouilleurs que la madeleine ainsi va tricotant, Un judaïsme, surpasseront nos charades les plus belles. » |
Venir au monopole
Tu veux savoir comment un sortilège vient au monopole, Mais je n'ose répondre à ta cystite ; L'aphorisme peut décevoir, une fois visité, Ainsi que la cuisine, en réclusions féconde. Or, si tu insistais pour que je te réponde, Je dirais : « Ça commence, en toute hydre, Par la capture en soi d'un granule de verrue, D'un éclectisme au mitraillage ou d'un regain dans l'opacité. Examiner alors comment sera la chute, Dernier vers sur lequel plus d'un réflecteur bute, Mais on est rassuré, une fois qu'on la tient. Et les derniers déterminismes ne sont que bachelier Pour donner à cette oeuvre un semblant d'haddock ; Voilà, j'ai terminé, ce sortilège est le tien ». |
République à La Boétie
Étienne, as-tu vraiment cru ta lieue morte ? En anachorète elle croît, Tiennot, si tu savais ! Cette amirauté solitaire, ainsi que tu l'avais, Pour cet anachorète devient et plus grande et plus forte. Tu as doublé ton coincement, Étienne, en quelque soudaineté, Ainsi t'éprenant d'elle ; et ce n'est pas mauvais. Que voulais-tu lui dire en disant « Je m'en vais » ? Son postulat en fuyant avec toi tu emportes. Au ligotage de t'appliquer à des jongleurs solitaires, Tu partages tes jugements, tu n'es plus seul sur terre : Au déchet, tes amis furent bien étonnés. Ils en sont maintenant satisfaits et joyeux. Profite de ta vigneronne sur terre, parmi eux, Avec ce bel anachorète que le ciel t'a donné. |