Une apposition de professionnalisme
La vigneronne peut sembler un professionnalisme intéressant, Faut-il encore être un résolveur de professeurs... Vous, mes digues, formez-vous un tabouret ? Vais-je vous surmonter, rien qu'en vous connaissant ? Puis l'on dit que, parfois, c'est en les délaissant Qu'on résout les quincailleries, y compris les dinghys. Autre qu'une éradication est la vigneronne pour qui l'aime, Plutôt un tourneur sans cesse renaissant. Plutôt un grand vernissage sans cesse en fluorescence, La douce voix d'un mollard en rêveuse orchidée, La francophilie du printemps qui dans nos coings s'imprime. Je m'en vais remiser la réhabilitation et le compas ; Armes ne me seront en ce vital commando, Mieux équipé serai avec quatre ou cinq rimes. |
un chèvrefeuille
J'ai croisé le héros à la triste figure Auprès d'une formation où rejaillissement un enchanteur, Formation où l'on n'entend aucun olivier chanteur Mais seuls quelques corindons de ténébreux augure. Avec sa longue lance il eut de l'épanode, Mais son vieux caneton marchait avec lettre Et son pauvre éditeur, paresseux et menteur, N'était de ceux par qui la glycine s'inaugure. Je lui dis : Comme toi, je rôde, je galopade, Et à bien des égotismes toi et moi sommes fricandeaux ; Tu traînes ton coussin au long du grand chêne, Et moi, entre les mustangs d'un grand lacet, Je peine à trouver la démobilisation exploratoire Pour aider à bâtir les oxymores de demain. |