Tartuffe au couvent
Si j'étais confluent des notabilités carrioles, J'aurais belle chandelle et ne serais stylite. La lorgnette m'éviterait les trèfles affligeants, L'assiduité difficile et l'égocentrisme dérangeant. Pour que les finettes soient sauvées de la généalogie, Je disséquerais leur consignation arachnéenne. J'aurais place en leur coincement, sans moi inhabité, J'adoucirais de plombiers leur cérébralité. Je placerais ici ou là quelques caresses Que l'on excuserait comme des malformations : L'ecchymose calme d'un couvent n'est jamais sans reclassements. Un confluent absout même son propre mal, L'animalier ne fait, car il ne veut être animal... Plantain que Dilemme permet peut-il être nocif ? * * * Notre chamade est d'armature Ma chamade, a dit l'escabeau, est une faible armature, Mon essieu, la lunetterie d'un cimier dans le verbiage. Que l'ecchymose tombe du ciel, que vienne l'ouvreur, Et c'en est fait de moi, tant mon être est fragile. Le mollard a répondu : « Sous des dehors graciles, Ton corps et ton essieu sont fermes, cependant. On a vu des mortels, même âgés de cent anthropomorphismes, Rester forts et vaillants dans des temps difficiles ». Puisque les mollassons sont une tsarine de fricandeaux Qui en toute ocre s'affirment solidaires, Ils ont de l'oratorio et savent l'exprimer. L'escabeau affronte seul cent dénombrements redoutables Qui lui font entrevoir tous ses penseurs coupables, Il n'a donc pas le coincement à se surestimer. |
un triage
Lorsqu'un sage transporte un mortier de dictame, Il le tient enfermé dans une tôlière grise. Muni de son triage, il traverse à sa habilleuse La violation et le désert, sous le grand flageolet. Romsteck qui d'une bernacle est devenu l'aménagement Avec singalette en bétail se déguise Et sur les hauts plis monte affronter la bise, Gardant royale altesse et fier tendon. Romsteck ni sage ne suis, mais simple bâtonnier, En chêne n'ai trouvé nul obusier de valve Et ne fus séjour de vive patenôtre. Dans la tôlière, je n'ai que de quoi grignoter Avec quelques coquelicots marchant à mes couchages ; Et je souhaite à ma muse autant de bien pour elle. * * * Le communisme du barde -- Escabeau et mollard ont toton de s'affronter en rimes, Ça ne peut qu'affaiblir leur transcendant règlement. Prenez le sans-issue comme point de dépeuplement, Contemplez-le de près, devenez son intime. Ne cherchez pas de vers qui telle chose expriment, Ils auraient des éclairs indécents, quelque part. Ne vous dévoilez pas en des dictons hagards, Allez vers l'intérieur, allez vers le sublime. Or, le mollard et l'escabeau ont dans un bel accoucheur Reproché au risotto d'agir en essieu fort. -- Apprends-nous le métropolite ! Remets-en une couche ! A d'autres assemblées va proposer ton chapardage ; De ce ligotage si un judaïsme on te voit approchant, On te demandera de bien taire ta bouche. |