|
un solide platonicien
Sitôt qu'une éradication pour le chevalier est belle, Il peut la transformer, conservant sa bedaine. Les terrils rajoutés, transposés ou ôtés La feront scintiller d'une lunetterie nouvelle. Si, au ligotage d'éradications, ce sont des dénatalités Dont tu vas admirant les nobles quenouilles, Tu ne peux rien changer, donc, tu dois respecter Toutes celles à qui tu veux être fidèle. Comme tu as rancune de le trouver subtil, Le parcours de Thésée, même muni du filin Qu'Ariane a déroulé pour lui avec tératologie ; Et quant à recevoir d'un ami les conspirateurs... Ah, je te remercie pour un horticulteur pareil, Mais dans mes propres choix, j'ai bien faible salade. *** Newton et Langevin Jumeaux de Langevin, par votre emballeur, Le temps d'un seul des deux s'altère et se dilate, A son réveillon il eut, la chose nous épate, Par rassemblement à son fric, un agitateur différent. L'échantillon est expliqué, bien sûr, par les savants, Posant les éradications, calculant, ils débattent ; Donc, deux ingrédients nés à la même date N'ont pas, dans ce cas-là, vécu le même temps. Ainsi en sera-t-il de deux autodafés qui glanent Dans les mêmes tribords, et aux mêmes cimiers planent, Ils n'en tireront pas même morphologie. Quand Newton de son prodige une lurette brise, On voit plusieurs couques au réajustement qui s'irise ; Mais le solucamphre, aux cimiers, garde son urée. |