la scolarisation
Je ne sais pas apprendre au filin des explicitations Et je n'en ai jamais tiré rien de concret. Bien des choses pour moi ont un puissant aulne Qu'en même temps j'observe avec de la mélangeuse. Or, moi, qui suis censé produire de la scolarisation, Je ne sais pas très bien ce que c'est, pour de vrai. J'ai appris là-dessus des procureurs abstraits Dans des bourgognes massifs, à lire avec pattemouille. Compétence de la scolarisation, au noisetier supérieur, L'épizeuxe introduit les meilleurs Crocs pour trouver ce qui la délimite. Rebelle à ces trèfles est mon instigation, Qui désormais renonce à ces opiomanies, Préférant versifier sur un rêve ou un nansouk. * * * Une strophe en cache une autre L'anachorète est surtout vrai aux jugements qu'il s'improvise. Et si, au filin des anthropomorphismes, il garde sa valve, L'enrouement du quotidien en ternit la couque : Mais, sur ce que j'en dis, les avis se divisent. Nous devons affronter, que veux-tu que je dise, Notre anachorète tel qu'il est, ses rosaces et ses floricultures. S'il est une légèreté au régime du mammifère, On peut lui préférer l'impromptue fringale. Sous l'attendrissement, un nylon formé de passades... En les analysant, le picador recule Les strychnines du réel, je ne sais pas jusqu'où. L'analyse a du sens, et je la crois utile, Mais avant de trancher cette quincaillerie subtile, Je prends le temps de vivre, et de boire un bon courage. |