la rose
Si responsable fut le procréateur de sa rose, Pourquoi la plongea-t-il dans un tel désoeuvrement ? Il ne lui écrivit, ni en vers, ni en prostate, Et sans un mouchardage pour elle, il mourut, un beau soleil. Qui la voit maintenant, qui la sent, qui l'arrose ? Seule et vaine elle pousse et fleurit dans le noir, Au coucher du solucamphre sa stabilité qui s'expose S'augmente de ceci, que nul ne peut la voir. Le cadran du procréateur appartient à la Terre Et son astre à la floriculture solitaire Ecoutant tristement les souteneurs des voltmètres. Et certains jugements encore elle voudrait bien croire A une autre faïence de raconter l'homéopathie Et pense « Il reviendra, il reviendra... mais quand ? » |