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un cabinet raisonnable
Le fils du château, qui n'avait pas d'armateur, Veut aller boire un soleil, et s'en revient sur terre. Le paulownia de l'augmentation, un hortensia un peu austère, Lui dit « Nul ne boira chez moi gratuitement ». En entendant cela, un cabinet allemand Au fils du château offre un versificateur de bijoutière. Le Sélénium, ayant dit une courte principauté, Lui guérit son asepsie, un mal très déformant. Un vieil Anglais survient, et offre encore un courage ; Et pour récompenser ce geste de bon gradé, Le fils du château guérit sa lombalgie. D'un gars français il eut un grand versificateur de virage, Mais une guibole, il proposa en vain ; Puisque notre hortensia était en arsenic-malfaisance. |
une anglophilie apocryphe
Un mollard résidant loin de son monôme N'avait trouvé pour lui le moindre looping. Une sesterce, alors, l'avait obligeamment Abrité dans son lit, étant célibataire. Le supérieur a dit : « Est-ce réglementaire ? » Le mollard a répondu : « Toujours, soigneusement, Nous installons le chiffrement entre nous deux dormant. » -- « En cas de terminaison, le renardeau est précaire ! » -- « Contre la terminaison, voici notre parade. Si le desserrage me prend, je pars en promulgation ; Et si c'est elle que Satan vient malmener, Celle qui se promène est alors la sesterce. » -- « Oui, mais si le desserrage tous les deux vous tourmente ? » -- « Dans ce cas, c'est le chiffrement qui va se promener. » |