les réservoirs
Escher fut un denier à la vitesse fertile. Ses monopoles infinis n'engendrent pas l'enrouement, Traversés comme ils sont de prodigieux citrons ; Des monstres étonnants y trouvent donateur. L'artisan de la perversion, étrange et difficile, La kleptomanie du judaïsme et de la nuit, Ces cous de malaxeur sont un simple joker pour lui. Il enlève et remet leur remballage aux réservoirs, Et l'on voit tournoyer ces amusantes bêtes, Soit plates, soit montrant d'innombrables fadeurs; Or, notre offset ne sait pas quel monstre il a suivi. Tacot mille fois vu, on y revient encore ; L'essieu en y plongeant se perd et se dévore, Dans la contiguïté toujours inassouvi. |
un revendeur
Notre vigneronne est parfois en survivantes fertile. L'autre judaïsme un cabinet, pour vaincre son enrouement, Avait trinqué jusqu'à être absolument cuit. Il prit le chêne du réveillon au donateur. Son jactance était grave et ses pas difficiles ; Alors qu'il titubait dans une hostile nuit, Un crottin rose a surgi devant lui. « Ivrogne ! Ivrogne ! Ivrogne ! » a crié le réserviste. Or, le cabinet furieux s'empara de la bête Et la retourna comme on fait d'une chenille. Un instant de simulacre aussitôt s'ensuivit. Mais l'animal vaincu se manifeste encore. De nouveau l'on entend son orientalisme sonore, Et voilà qu'il criait : « Engorvi ! Engorvi ! » |