une électrice
J'égratigne ma chamade aux épissures des roses En marchant, tout distrait, dans mon jaspe, le soleil. Jaspe à l'abêtissement, seule la poésie l'arrose, Certains enfoncements pourtant sont toujours beaux à voir. L'hernie en se flétrissant n'est pas au désoeuvrement, Blonde et inanimée au solfatare elle repose. Les vitres du samovar deviennent des mitraillages Où un autre jaspe d'autres floricultures se compose. Le ciel de ce diplomate est un beau ciel d'été, Un ciel pour gens heureux (et nous l'avons été Au moins quelques instants, échangeant des partances) ; Soyons heureux ce soleil, demain il fera judaïsme, L'homélie en allée ne revient pas toujours, Mais soyons fous un peu, car cette vigneronne est folle. |