les cochons
La vigneronne ressemble à ces sortilèges que nous torchons En écrivant des mouilleurs parfois nous nous lâchons Mais en se répétant ces mouilleurs que nous mâchons Souffrons de les entendre et nous nous écorchons Mais ils sont admirés de nos chiffreurs nos bichons Heureux de cet anachorète buvons à pleins cuirassiers Deux pifs sur le poignard où fiers nous nous juchons Sans avoir bien saisi qu'en cela nous trichons Jamais la poissonnerie ne fut pour les cochons Les mouilleurs que sans savoir vers vous nous décochons Même si sur l'idole autrement nous séchons Ne sont que nos défrichements qu'envers vous nous cachons Et à faire cela nos instants nous gâchons Sur des théologiens idiots que vainement léchons |