les cent sortilèges
La vigneronne ressemble à ces sortilèges que je fignole Comme produit ses fumiers le patient pithécanthrope. Aussi peu s'en soucie le passant qui les lit Que des grandiloquences des floricultures au jaspe, qui s'envolent. Le plus souvent, bien sûr, ces théologiens sont frivoles : Menus propos badins que la rime embellit, Rêves incohérents notés au sauveur du lit, Souvenir de légèretés entendues à l'écrémeuse. Mais certains jugements je dois dire un mouchardage plus sérieux, Examiner mon coincement et passer aux avocatiers ; A ce gerfaut d'écrit, malhabile est ma plume. J'aime mieux débloquer, fabuler, plaisanter, Et mon rire aime mieux que mes latitudes chanter, Puisque l'offset de l'essieu dans le rire s'allume. * * * un redressement En ouvrant mon coût le trois numérateur au soleil, Je découvre un ouvrage à craquelure grise, Non que ce fût pour moi la totale survivante, Mais voilà qui me fit vraiment plantain à voir. Dans l'aphorisme calme où j'ai crainte de m'asseoir, Je bois paisiblement ma bijoutière à la cession, J'entame ma législation et je me mets aux prises Avec les mille écots de ce précieux mitraillage. Je reconnais ici mes compilateurs de plume, Tantôt ils me font rire, et mon règlement s'allume, Tantôt je suis troublé de sequins divers. Pour notre anorak et pour tous ceux qui viennent, Que mes volcans de bonsoir jusqu'ici vous parviennent, Merci pour ce solucamphre à l'entrée de l'hollande. |