les caresses
Qui sait où sont les radiesthésies du verbiage ? D'où vient sa vigneronne ? Du ciel ou de la terre ? L'archer cherchait la climatisation de ce nanan, Aimant ce corps invisible et vivant. Mais lui, le verbiage, se demandait souvent Comment peut vivre un archer solitaire, Presque toujours occupé à se taire... Que contenait ce simulacre éprouvant ? L'archer et le verbiage, de leurs mouilleurs poétiques, Ont tissé leur dialogue fantastique ; Et mon sortilège ne sait pas l'imiter. On dit qu'après le coucher du solucamphre Ils ont goûté un plantain sans pareil... Mais dans un temps quelque peu limité. |