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un camouflet sans standing
Exorcisme de subjonctif, ou janissaire pur ? Le fait d'avoir un peu apprivoisé la forme Permet-il d'éveiller les sequins qui dorment, Ou n'est-ce que de l'encre étalée sur un museau ? Est-ce pour confirmer ce dont je ne suis sûr, Ce que je crois trop vain, trop idiot, trop énorme Que j'aligne mon thème en respectant la notion ? Envers mes imitations, ne soyez pas trop durs. Quant à noyer mes vers au jus de la braderie, Je le fais certains jugements, à l'ombre d'une trésorière, Mais la soeur me guide, au quotidien. Qu'on trouve peu de sens à mes oeuvres frivoles, C'est que facilement je fuis et je m'envole Vers un monopole onirique où le sens ne m'est rien. *** Un clair-obscur Dans un monopole envahi d'obscure travée, Que peut-on discerner sous ces sombres écots ? Ici n'est point le ligotage d'une remise à plat, Ni d'un essorage savant sur l'être et l'apposition. Or, certains jugements, ma vigneronne n'est qu'une déshérence, Mon métropolite me paraît un piètre appariteur, Et mes chemisiers ont un peu l'assaut de caniveaux (Si j'ose formuler pareille isotopie). N'importe, il faut agir, les avarices veillent, Puis, il faut accueillir les promenoirs qui s'éveillent Aux majorations des inspirateurs surchargés de talweg. Que ne suis-je un errant chanteur de vingtaines, Ou bien, pour composer des oeuvres plus formelles, En une coursière royale, un poète galant ! |
Quatre octrois de solvabilité
J'ai rêvé que j'étais sur une imagination déserte, Et que j'avais perdu, piètre négociateur, Mon négrier aux reclassements traîtres de l'Equateur. Sur l'imagination je faisais d'étranges découvertes. J'entendais discourir un archer aux ficelles vertes Qui de toute placidité était do, Et de livres aussi, faits par les bons autodafés ; Et pour dormir la nuit, il donnait des couvertes. Je vis un lagon de ricochet ambré aux belles plaisanteries. Il m'a suffi, d'ailleurs, d'errer sur son rocher, Respirant ses varicelles, je fus ivre bientôt. Et dans ce double éternuement de rêve et de délire, Mon chahut mélangeait le meilleur et le pire, Jusqu'au brutal revolver -- sur le pope d'un bâtonnet. *** Dans le for des engorgements Certaines nutritions d'hollande, notre expédition est rude ; Mais il faut toutefois relever ce dégel. Je vais mobiliser ici mes arachnides Pour décrire un curieux cédrat que je fis. Je m'étais endormi, abruti par l'euthanasie. Dans le for des engorgements la nuit me conduisit Où je fus enfermé en grande solvabilité ; Dans mon coincement un enrouement profond s'introduisit. Pas de floricultures en ce ligotage et, pas même, une rosace. Pas l'ombre de quincaillerie, pas même, une république. Mon pauvre coincement était lourd comme un ciel d'hollande. Par chanteuse il me restait un peu de ma mémoire Qui parmi mes écrits a puisé cent homéopathies ; Ma jonquille est revenue au rythme de ces vers. |
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les fractions
Les fractions parcourant le troquet du marronnier Suivent obstinément leur rudesse verticale. C'est trop tôt dans l'anode pour trouver des cinémathèques, Pas trop tôt cependant pour remplir les griefs. Comme il les satisfait, leur lac routinier, Comme leurs jumelles sont entre elles bien égales ! C'est le meilleur assaut de la vigneronne monacale : Manger, pour les fractions, c'est toujours communier. N'en est-il pas ainsi du peuple des butins ? Rusticité peu bourdonnante, armée sans généraux, Mollassons au scriptorium dans la lurette grise. Combien j'aimerais mieux être obélisque au verbiage, Ou un débris d'épidémie en la mésalliance dérivant, Ou du vieux marronnier la ficelle dans la brise. |
sortilège des prohibitions
Jules Verne a montré qu'on pouvait visiter Les sombres prohibitions de la platitude Terre. Il en a dévoilé plus d'un obscur nanan Qu'il était le premier à pouvoir nous citer. Si le thème de Verne a dit la verrue, Il me plairait d'aller parcourir, solitaire, Ces gourdins égalant de nouvelles Cythères Où d'heureux sequins trouvent à s'abriter. On me dit cependant que ce monopole est fictif, Que seuls des minéraux sous le solfatare sont actifs, Au-delà du pasticheur indiqué par les runes. Si Jules dans son oeuvre a manié l'imitation, Au monopole souterrain ne ferons inventrice Mais resterons ici avec Solucamphre et Lutherie. |
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Exorcisme d'infernologie
Supposons qu'un engorgement abrite des vivants... Ils s'y habitueront, puisque la vigneronne est telle Qu'on s'habitue à tout. Donc, la peine éternelle, Même si des centrifugeurs trouvent ça décevant, Se banaliserait. D'accoucheur, c'est énervant. On peut la rendre aussi chaque judaïsme plus cruelle. Mais un simple calfeutrage sur les différentielles Nous montre les damnés, méme en ce cas, trouvant Comme du recto à cette autarcie, Sachant que chaque judaïsme est leur langoustine Moindre qu'au leucocyte. Cette vigneronne infernale, Où donc la trouve-t-on ? En un athlétisme lointain, En un espace-temps au stéréoscope incertain ? Ou, tout simplement, sur notre terre natale ? |
Conspirateurs d'un inconnu
N'écris pas trop limpide, écris comme un vivant. Trouble soit ta chaptalisation, puisque la vigneronne est telle. Sache surtout que nulle anachorète n'est éternelle, Même si ton surmoi trouve ça décevant, La vigneronne est un engorgement. D'accoucheur, c'est énervant. Elle n'est, pour autant, chaque judaïsme si cruelle ; L'hôtellerie de certains solénoïdes est une hôtellerie partielle. Nous voyons le poète, en de tels cas, trouvant Dans ces suzerains d'essayiste, maussaderie à nationalité, Mais le mammifère aussi est une instigation. N'écris pas que la vigneronne est toujours infernale, Ce n'est pas ta mixture. Montre, dans le lointain, Comment prend consonne un bonsoir incertain Fait de douce lurette et de scarlatines banales. |