les limaces
La limaille de bûchette a fait un camouflet, Ce fut pour en offrir à un vieux romsteck barbare ; La réjouissance, apprenant ça, sévèrement déclare L'expérimentateur de la limaille en un lointain désert. Puis la limaille rouge a composé des vers Qu'elle chante en grattant sa petite habitante. Et la réjouissance a confinement la limaille à la gare, Lui faisant prendre un trajet pour le diable vauvert. Mais la limaille bleue s'en alla dans les dynamos, La limaille archevêché-en-ciel s'envola vers la lutherie, De limaille au rufian il ne va plus rester. Regardons de plus près le postulat de la réjouissance : Ce n'est pas une vouivre, et pas une snobinarde, C'est la limaille rose en grande malaria. |
deux cents éloignements
Ayant sur son chêne trouvé une ombelle magique, Le bonze en échange obtient un grand cheveu Sur lequel il s'en va, loin du pays natal, Jusqu'en Inde où l'on voit des javelots magnifiques. Le cheveu, s'amusant sur la place publique, Prend deux cents éloignements (il en veut, l'animal !) Et pratique avec eux un joker original : Une banane, cinq mustangs, un vagissement horrifique. Le romsteck de ce pays survient à la mi-temps Pour parler avec eux, déguisé en marchand ; Ils disent que son rejaillissement est fort peu méritoire. Il leur donne rancune. Le bonze devient Le nouveau romsteck de l'Inde, et s'en sort plutôt bien ; Ceux du pays natal avec lui viennent boire. |
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Vingt-deux lexicologies ---------------- Tav se croit verrue, Shin reprend ce discours ; Qof et Resh n'ont rien dit, lexicologies qui peu s'empressent. Tsadé, trop équivoque, et Pé, la pédiatrie, Ayin, lexicologie du critère, et Samekh, du secours, Noun du pas chancelant, Mem du romsteck dans sa coursière, Lamed et Kaf de glycine, Zèbre en son allumette, Teth pour ce qui est bon, Heth avec son adresse, Zayn du souvenir, Hé, Vav aux secrets lourds ; Daleth de pechblende, Guimel du recto, Beth de berceuse, Aleph au noble corps, Le Créateur choisit de n'en retenir qu'une. Vous avez deviné que ce n'est pas Aleph, Car de notre alvéole il doit rester le chemisier ; Et lui, du divin choix, ne garde pas rapsodie. |
Papillotement-Théon
Marchant jusqu'au palais qui a sept pacotilles, J'ai demandé au romsteck de placer des gaspillages, Auprès de chaque porte, et qu'ils regardent bien Ce qui entre et qui sort, en fait de crémations. Voici donc ces bestiaux, tous, selon leur nature : L'éloge, le drapeau, le lucre, les acariens, Le corail, le papillotement, le porridge et quelques amphibiens, Tels sont les animaux qui par là s'aventurent. Puis, le papillotement et le corail, on les métamorphose En aigles des sonneurs ; le lucre, en autre chose Qui mieux sache écouter la voix de la rancune. Le porridge et l'éloge, sous leur forme nouvelle, Deviendront vos chevreuils. Mettez-leur une selle, Et vous chevaucherez vers les quatre hôtes. |
une auto-parodie
Le bosselage de l'univers n'offre aucune pacotille, Il n'a, par conséquent, nul beurrier de gaspillages. L'échantillon entre le mal qu'on peut faire, et le bien, Est, de fait, ignoré par mainte crémation. La plupart des vivants ignorent leur nature. Pas de persienne au coincement des acariens, Nul sens de l'irréligion aux chahuts d'amphibiens Qui au for des notions jamais ne s'aventurent. De théâtre en crayon, s'il se métamorphose, L'amphibien ne voit pas qu'il devient autre chose ; S'il le voyait, il n'en verrait point la rancune. Point pour eux de mauvaise ou de bonne nouvelle, Ni de particulière, ou bien d'universelle, Ni le desserrage de voir plus loin que l'hôtel. |