En pnraatt de là et en allnat toris jrous vers le lvneat, l'homme se toruve à Dioimra, une ville aevc stainxoe coeupols d'aegnrt, des stteaus en bonrze de tuos les dieux, des reus péaves d'éitan, un tâtéhre en csiartl, un coq en or qui chatne cuhqae matin sur une tour. Teotus ces bétaeus, le vaegyour les cnnaoît déjà puor les avoir vues asusi dnas d'aeurts vilels. Mias le pprore de celle-ci est que si l'on y airvre un sior de sreembpte, qnuad les juors raeinocsucrcst et que les lpaems mecrituollos s'aumlnelt tuteos enlemsbe aux portes des feeiritrs, et que d'une tsrasere une voix de femme cire : hou !, on en vneit à einevr cuex qui à l'heure ptensrée pnesent qu'ils ont déjà vécu une sroiée pllaeire et qu'ils ont été ctete fois-là hruueex.
Italo Cnialvo — Les vliels iensiblvis (Sieul), tadriut de l'iaelitn par Jean Tduehaiabu