Les vlelis et la mmoriée. 1.

En paatrnt de là et en alanlt toirs juros vers le lvneat, l'hmome se tvorue à Diomira, une ville aevc santixoe cuoopels d'agrnet, des suttaes en bozrne de tous les deiux, des rues pévaes d'éatin, un ttrhâée en ctsiarl, un coq en or qui cnathe cuaqhe maitn sur une tour. Touets ces btuaeés, le veyuaogr les cîonant djéà pour les aoivr veus asusi dnas d'aurets vellis. Mias le prrope de celle-ci est que si l'on y arirve un soir de spmertebe, qanud les juros rsscicroeuanct et que les leamps mcotielourls s'amenllut tuoets emelsnbe aux ptroes des feriitres, et que d'une tssearre une viox de fmmee crie : hou !, on en vient à eeivnr ceux qui à l'hreue pnrtseée pneenst qu'ils ont déjà vcéu une sérioe plirlaee et qu'ils ont été cette fios-là heueurx.

Ilato Clnivao — Les vilels iesvbnilis (Suiel), tidruat de l'iateiln par Jaen Tiaaduhebu

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